Suite au succès planétaire (et mérité) du premier opus, on prend les mêmes et recommence (plan par plan). John McClane is back !
Cette fois ci point de Nakatomi Plaza mais un aéroport tout entier, des avions à exploser et un paquet de méchants (et de gentils) à dézinguer.
Pendant tout le film, on s’amuse à relever tous les détails similaires au premier opus, sauf que de petits détails, on en vient à plagier toute l’intrigue.
Die Hard 2 garde la même formule que le premier, en plus grand, plus beau, plus fort.
Car si McClane en prenait pour son grade durant le premier opus, il développe ici une fâcheuse tendance (en plus de celle de toujours être au mauvais endroit au mauvais moment) à arrêter les balles, se faufiler entre elles, et tirer toujours pour tuer.
Le flic humain avant tout de Die Hard premier du nom est devenu ici la caricature dénoncée par McTiernan. C’est dommage, surtout qu’on perd ici tout ce qui faisait le sel de ses précédentes mésaventures.
Heureusement, l’humour pince sans rire est toujours là, encore plus développé dans cet opus (faut dire qu’entre temps, c’est devenu à la mode), et les parallèles au premier épisode, fleurissant tout le long du film, sont hilarants (How could the same shit happen to the same guy twice ?).
Le bourrin Renny Harlin s’occupe du reste, et on peut dire qu’on en a pour notre argent (remember la scène de la rampe électrique, ou du siège éjectable), même si l’on frôle franchement le grand guignol.
Pas grave, Willis arrive facilement à nous faire oublier l’énormité de l’intrigue.
Intrigue qui voit vraiment la loi de Murphy s’abattre sur notre pauvre John qui doit faire avec, en plus de terroristes, des avions qui s’écrasent, une tempête de neige, des policiers incompétents, et une femme en danger de mort.
Mais ça fait parti du plaisir coupable qu’offre le film, plaisir décuplé quand même par la jouissance des situations (McClane qui se bat sur l’aile d’un 747 avant de la faire exploser en vol tout en balançant un YeepeeKaï Yeah Mother Fucker, ça a franchement de la gueule).
On passe un très bon moment, même si le film se détache que peu de la moyenne du genre.Car attention toutefois, un mauvais Die Hard restera toujours un très bon film d’action.
Surtout que le troisième volet est une merveille.
Cette fois ci point de Nakatomi Plaza mais un aéroport tout entier, des avions à exploser et un paquet de méchants (et de gentils) à dézinguer.
Pendant tout le film, on s’amuse à relever tous les détails similaires au premier opus, sauf que de petits détails, on en vient à plagier toute l’intrigue.
Die Hard 2 garde la même formule que le premier, en plus grand, plus beau, plus fort.
Car si McClane en prenait pour son grade durant le premier opus, il développe ici une fâcheuse tendance (en plus de celle de toujours être au mauvais endroit au mauvais moment) à arrêter les balles, se faufiler entre elles, et tirer toujours pour tuer.
Le flic humain avant tout de Die Hard premier du nom est devenu ici la caricature dénoncée par McTiernan. C’est dommage, surtout qu’on perd ici tout ce qui faisait le sel de ses précédentes mésaventures.
Heureusement, l’humour pince sans rire est toujours là, encore plus développé dans cet opus (faut dire qu’entre temps, c’est devenu à la mode), et les parallèles au premier épisode, fleurissant tout le long du film, sont hilarants (How could the same shit happen to the same guy twice ?).
Le bourrin Renny Harlin s’occupe du reste, et on peut dire qu’on en a pour notre argent (remember la scène de la rampe électrique, ou du siège éjectable), même si l’on frôle franchement le grand guignol.
Pas grave, Willis arrive facilement à nous faire oublier l’énormité de l’intrigue.
Intrigue qui voit vraiment la loi de Murphy s’abattre sur notre pauvre John qui doit faire avec, en plus de terroristes, des avions qui s’écrasent, une tempête de neige, des policiers incompétents, et une femme en danger de mort.
Mais ça fait parti du plaisir coupable qu’offre le film, plaisir décuplé quand même par la jouissance des situations (McClane qui se bat sur l’aile d’un 747 avant de la faire exploser en vol tout en balançant un YeepeeKaï Yeah Mother Fucker, ça a franchement de la gueule).
On passe un très bon moment, même si le film se détache que peu de la moyenne du genre.Car attention toutefois, un mauvais Die Hard restera toujours un très bon film d’action.
Surtout que le troisième volet est une merveille.
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