Un employé du Seatle Grace vient à la rencontre de Derek pour lui demander d'opérer sa tumeur, située sur sa moelle épinière. Après mûres réflexions, Derek accepte l'intervention, malgré l'interdiction de Richard. S’en suit un épisode de la mort avec des couches, des mecs ouverts, des tumeurs, des opérations de plus de 20 heures, et une tension à faire frémir les cardiaques.
On rappelle pour ceux du fond qui ne suivent pas.
Grey’s Anatomy perd peu à peu son casting original. Entre les insultes homophobes, les licenciements abusifs, les grossesses et les actrices un poil trop narcissiques qui réclament un congé pour tourner des films, on pensait que le show aller sombrer sous le poids des rumeurs et clash sur et hors plateau, à l’instar des grandes séries au casting trop nombreux.
Que nenni.
Les scénaristes sortent leurs plis beaux atouts pour accrocher le spectateur, et ressortent encore une fois cette semaine le coup de l’épisode concept après celui tout en flashbacks énigmatiques retraçant étapes par étapes les erreurs ayant conduit à la mort d’une patiente de la semaine dernière.
Le beau Derek (qui n’a toujours pas pris des cours de comédie, hein, mais passons) est au centre de cette histoire le sanctifiant quasiment au statut de Dieu de la médecine capable d’opérer pendant une vingtaine d’heures une tumeur inopérable, le tout sans se fatiguer.
Le show n’est jamais meilleur que lorsqu’il veut faire son intéressant, à l’instar des épisodes du Super Bowl, toujours impressionnants et d’un suspens hallucinant. Celui-ci ne déroge pas à la règle, et s’éloigne encore, suivant le schéma entamé la semaine dernière des problèmes romantico- cul cul d’un casting devenu complètement transparent. On se fiche complètement d’une quelconque fusion, d’une Izzie évaporée dans la nature, ou encore d’une Meredith clouée au lit à cause d’un don de foie aussi rapide que incohérent, tant ils ressemblent à des tentatives désespérées de faire revivre le show malgré la valse de ses acteurs et les remous de la production. La série est clairement pensée au jour le jour, et si l’on perd en caractérisation des personnages (les pauvres ont tellement changés de personnalité au fil des saisons, sans aucune once de cohérence, que les auteurs n’ont plus qu’à ramasser les miettes), on gagne en tension et en épisode aux concepts finalement bien plus pensés que les arcs scénaristiques décidés pour l’année.
Si cette prise de position ne fonctionnera pas sur la durée, car pour que l’on tremble pour ces personnages, il faut que l’on y croit, qu’on les aime, il reste néanmoins que ces épisodes façon rollercoaster médicaux sont de jouissives récréations avant de retourner aux bases du show, avec plus ou moins d’envie.
En espérant que Meredith reste encore à couver de nombreux épisodes.
Un épisode franchement haletant, débarrassé de toute véracité médicale pour n’offrir qu’un ride décérébré mais d’une tension palpable. Pourvu qu’ils poursuivent cette voie.
On rappelle pour ceux du fond qui ne suivent pas.
Grey’s Anatomy perd peu à peu son casting original. Entre les insultes homophobes, les licenciements abusifs, les grossesses et les actrices un poil trop narcissiques qui réclament un congé pour tourner des films, on pensait que le show aller sombrer sous le poids des rumeurs et clash sur et hors plateau, à l’instar des grandes séries au casting trop nombreux.
Que nenni.
Les scénaristes sortent leurs plis beaux atouts pour accrocher le spectateur, et ressortent encore une fois cette semaine le coup de l’épisode concept après celui tout en flashbacks énigmatiques retraçant étapes par étapes les erreurs ayant conduit à la mort d’une patiente de la semaine dernière.
Le beau Derek (qui n’a toujours pas pris des cours de comédie, hein, mais passons) est au centre de cette histoire le sanctifiant quasiment au statut de Dieu de la médecine capable d’opérer pendant une vingtaine d’heures une tumeur inopérable, le tout sans se fatiguer.
Le show n’est jamais meilleur que lorsqu’il veut faire son intéressant, à l’instar des épisodes du Super Bowl, toujours impressionnants et d’un suspens hallucinant. Celui-ci ne déroge pas à la règle, et s’éloigne encore, suivant le schéma entamé la semaine dernière des problèmes romantico- cul cul d’un casting devenu complètement transparent. On se fiche complètement d’une quelconque fusion, d’une Izzie évaporée dans la nature, ou encore d’une Meredith clouée au lit à cause d’un don de foie aussi rapide que incohérent, tant ils ressemblent à des tentatives désespérées de faire revivre le show malgré la valse de ses acteurs et les remous de la production. La série est clairement pensée au jour le jour, et si l’on perd en caractérisation des personnages (les pauvres ont tellement changés de personnalité au fil des saisons, sans aucune once de cohérence, que les auteurs n’ont plus qu’à ramasser les miettes), on gagne en tension et en épisode aux concepts finalement bien plus pensés que les arcs scénaristiques décidés pour l’année.
Si cette prise de position ne fonctionnera pas sur la durée, car pour que l’on tremble pour ces personnages, il faut que l’on y croit, qu’on les aime, il reste néanmoins que ces épisodes façon rollercoaster médicaux sont de jouissives récréations avant de retourner aux bases du show, avec plus ou moins d’envie.
En espérant que Meredith reste encore à couver de nombreux épisodes.
Un épisode franchement haletant, débarrassé de toute véracité médicale pour n’offrir qu’un ride décérébré mais d’une tension palpable. Pourvu qu’ils poursuivent cette voie.
8/10
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