Edward, c’est l’histoire d’un réalisateur.
Tim Burton, ou l’une des plus intéressantes personnalités du cinéma américain.
Et à ce moment de sa carrière, il est à son sommet.
Après Batman et Beetlejuice, mais avant Batman Returns et Ed Wood, Edward est certainement son film somme, à l’imagerie gothique et noir splendide et à la tristesse infinie.
On suit le parcours, la naissance à la vie et la découverte du Monde d’ Edward, être crée par un inventeur, mort juste avant de fignoler son œuvre, donner des mains à Edward. Les ciseaux (ou mains d’argent) du titre.
Mais plus que l’aspect freaks du personnage, c’est son acceptation et son incompréhension finale par le monde qui intéresse Burton.
Autrement dit comment un pauvre petit bonhomme sans aucune notion du bien ou du mal se retrouve confronté à la vie morne et rangée, réglée au millimètre d’une petite banlieue américaine, aux permanentes coiffées à l’équerre, et ses maisons flashy aux couleurs bariolés. Une première pour Burton, plus habitué aux manoirs sombres et effrayants. La reconstitution est minutieuse et le réalisateur règle au millimètre ces scènes à l’ironie joyeuse et aux rires fréquents.
Sauf qu’en signant ici un conte noir et cruel, il livre aussi une merveilleuse et bouleversante histoire d’amour, à la beauté emplie de féerie et à la musique somptueuses.
Difficile de retenir sa larme face au générique final.
On vient de vivre une expérience autre, transporté dans ce conte aux symbolismes, si bien que simplistes, restent incroyablement touchants.
Sa romance avec Wynona Ryder, qui ne sera plus jamais aussi convaincante (et craquante), transperce le cœur par la beauté de certains instants, comme perdus dans le temps, encore magnifiés par la musique de Danny Elfman (la danse sous la glace, éclatante scène de grâce).
Son « Hold Me » susurré à l’oreille d’Edward devenant un de ces moments de purs cinéma, qui font de leur support une œuvre culte, à travers les âges, à travers le temps.
Et le crève cœur suivant, « I can’t », finit de nous transporter dans de stratosphériques hauteurs.
Qualifier de niais, cette histoire franchement (mais surtout idéalement) naïve et candide, serait passer complètement à côté du bonheur d’un tel film.
Enchanteur, somptueux, certainement le plus beau film du monde.
Tim Burton, ou l’une des plus intéressantes personnalités du cinéma américain.
Et à ce moment de sa carrière, il est à son sommet.
Après Batman et Beetlejuice, mais avant Batman Returns et Ed Wood, Edward est certainement son film somme, à l’imagerie gothique et noir splendide et à la tristesse infinie.
On suit le parcours, la naissance à la vie et la découverte du Monde d’ Edward, être crée par un inventeur, mort juste avant de fignoler son œuvre, donner des mains à Edward. Les ciseaux (ou mains d’argent) du titre.
Mais plus que l’aspect freaks du personnage, c’est son acceptation et son incompréhension finale par le monde qui intéresse Burton.
Autrement dit comment un pauvre petit bonhomme sans aucune notion du bien ou du mal se retrouve confronté à la vie morne et rangée, réglée au millimètre d’une petite banlieue américaine, aux permanentes coiffées à l’équerre, et ses maisons flashy aux couleurs bariolés. Une première pour Burton, plus habitué aux manoirs sombres et effrayants. La reconstitution est minutieuse et le réalisateur règle au millimètre ces scènes à l’ironie joyeuse et aux rires fréquents.
Sauf qu’en signant ici un conte noir et cruel, il livre aussi une merveilleuse et bouleversante histoire d’amour, à la beauté emplie de féerie et à la musique somptueuses.
Difficile de retenir sa larme face au générique final.
On vient de vivre une expérience autre, transporté dans ce conte aux symbolismes, si bien que simplistes, restent incroyablement touchants.
Sa romance avec Wynona Ryder, qui ne sera plus jamais aussi convaincante (et craquante), transperce le cœur par la beauté de certains instants, comme perdus dans le temps, encore magnifiés par la musique de Danny Elfman (la danse sous la glace, éclatante scène de grâce).
Son « Hold Me » susurré à l’oreille d’Edward devenant un de ces moments de purs cinéma, qui font de leur support une œuvre culte, à travers les âges, à travers le temps.
Et le crève cœur suivant, « I can’t », finit de nous transporter dans de stratosphériques hauteurs.
Qualifier de niais, cette histoire franchement (mais surtout idéalement) naïve et candide, serait passer complètement à côté du bonheur d’un tel film.
Enchanteur, somptueux, certainement le plus beau film du monde.
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