Mike Myers reprend son personnage rendu célèbre dans le Saturday Night Live, une espèce d’ado attardé, période grunge, complètement décalé et star d’une émission loufoque crée avec son ami Garth, et diffusée de la cave de ses parents jusque dans les télés de sa banlieue, Aurora. C’est alors qu’un producteur véreux décide de s’emparer de l’émission et d’exploiter les deux malheureux trasheurs.
Mais au-delà de ce point de départ peu original, c’est la personnalité et l’inventivité d’un Mike Myers déchaîné, qui vont faire du film ce qu’il est aujourd’hui, une œuvre de culte, vénérée par de nombreux fans qui voient ici leur bible, leur guide du bon goût et leur félicité à venir.
A lui les bons mots, et à Penelope Spheeris de s’occuper des blagues visuelles. C’est bien simple, on se croirait revenu au bon vieux temps des ZAZ (Zucker Abrahms Zucker)!
L’ensemble est donc bourré de moments cultes, du Bohemian Rapsody dans la voiture, au cantonais et la scène des sponsors, hilarante.
S’attelant à démontrer le quotidien d’une « équipe de télé » le film joue aussi avec les codes et marques de fabriques du cinéma traditionnel. Y passent alors les références cinématographiques (voir le film plusieurs fois pour toutes les digérer), et les traditionnelles scènes à Oscar, de sexe gratuit, jusqu’au happy end (et méga Happy End) final.
Complètement décalé, ce film « autre » annonce la voie pour toute une autre flopée, notamment conduite par Mike Myers (qui n’a rien à voir avec le tueur de Carpenter) de « films cons » (car c’est un genre à part entière) dit modernes, et renouvelant le genre avec joie. Les ZAZ seront même obligés pour réclamer leur dû d’ajouter un opus à leur série des Naked Guns (Y’a-t-il un flic…), avec Leslie Nielsen.
Même s’il accuse une grosse baisse de rythme en parcours, il fait partie de cette liste de films qu’on regarde aisément, par période, et où les gags fonctionnent toujours, même en les connaissant par cœur.
Pas besoin donc de trop grand discours ou d’analyse profonde.
Même si tout le monde l’a vu, essayer Wayne’s World, c’est l’adopter.
Surtout que pour le prix d’un, on a droit en cadeau à sa suite, tout aussi déjantée.
Et faut surtout être balaise pour résister au charme de Tia *Rhaaah Lovely* Carrere, du temps où la chirurgie esthétique et le botox n’avait pas encore atrophié son joli minois.
PARTYTIME DUDE !
Mais au-delà de ce point de départ peu original, c’est la personnalité et l’inventivité d’un Mike Myers déchaîné, qui vont faire du film ce qu’il est aujourd’hui, une œuvre de culte, vénérée par de nombreux fans qui voient ici leur bible, leur guide du bon goût et leur félicité à venir.
A lui les bons mots, et à Penelope Spheeris de s’occuper des blagues visuelles. C’est bien simple, on se croirait revenu au bon vieux temps des ZAZ (Zucker Abrahms Zucker)!
L’ensemble est donc bourré de moments cultes, du Bohemian Rapsody dans la voiture, au cantonais et la scène des sponsors, hilarante.
S’attelant à démontrer le quotidien d’une « équipe de télé » le film joue aussi avec les codes et marques de fabriques du cinéma traditionnel. Y passent alors les références cinématographiques (voir le film plusieurs fois pour toutes les digérer), et les traditionnelles scènes à Oscar, de sexe gratuit, jusqu’au happy end (et méga Happy End) final.
Complètement décalé, ce film « autre » annonce la voie pour toute une autre flopée, notamment conduite par Mike Myers (qui n’a rien à voir avec le tueur de Carpenter) de « films cons » (car c’est un genre à part entière) dit modernes, et renouvelant le genre avec joie. Les ZAZ seront même obligés pour réclamer leur dû d’ajouter un opus à leur série des Naked Guns (Y’a-t-il un flic…), avec Leslie Nielsen.
Même s’il accuse une grosse baisse de rythme en parcours, il fait partie de cette liste de films qu’on regarde aisément, par période, et où les gags fonctionnent toujours, même en les connaissant par cœur.
Pas besoin donc de trop grand discours ou d’analyse profonde.
Même si tout le monde l’a vu, essayer Wayne’s World, c’est l’adopter.
Surtout que pour le prix d’un, on a droit en cadeau à sa suite, tout aussi déjantée.
Et faut surtout être balaise pour résister au charme de Tia *Rhaaah Lovely* Carrere, du temps où la chirurgie esthétique et le botox n’avait pas encore atrophié son joli minois.
PARTYTIME DUDE !
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