Chuck doit sortir Captain Awesome d’une sacrée galère, effectuer sa première mission en solo, et se rendre compte que Kristin Kreuk a bien grandi depuis Smallville.
Le show a mangé du lion avec ces deux épisodes palpitants, irrésistiblement funs et à l’écriture inspirée, qui se paient même le luxe d’être plus drôles que n’importe quelle reprise de sitcom actuelle. Faut dire qu’ils fabriquent tout ceci avec soin : entre une désacralisation de Captain Awesome et une sanctification officielle en tant que plus jolie fille de la terre (avec ma maman) pour Kristin Kreuk, la série sait appâter son public, et celui-ci lui rend bien.
Parce que ça ne sera jamais trop dit, ici on adore ce show, commencé modestement et qui dézingue toutes les grosses machineries sur son passage !
Qu’importent les annulations, elle survit !
Coupure dans le budget ? On soigne d’abord le script !
Moment récréatif intense et ultime, la série multiplie en plus les guests qui claquent, et font palpiter le cœur du geek. Après Tricia Helfer ou Scott Baluka l’année dernière, on a droit coup sur coup à Brandon Routh (Superman quand même, excusez du peu) et Kristin Kreuk ! Pour l’amateur lointain qui ne la connaissait qu’en lycéenne cul cul dans Smallville, le choc est frontal, et l’on a bien du mal à suivre l’épisode lorsqu’elle apparaît à l’image. A noter que les scripts sont plus ambitieux. Même s’il est difficile à ce titre de passer après le fabuleux season finale de l’année dernière (oui oui on se répète, on sait), le show évolue et n’a pas peur de proposer autre chose que ses couloirs ou ses entrepôts habituels. Et cette fois l’on voyage !
Langue étrangères, matte painting incrustées, bande son originale (l’amoureuse de Carla Bruni pour un voyage à Paris, c’est la grande classe en même temps que très amusant pour nous autres).
Chuck est donc l’incontournable de cette nouvelle année, voire même de la rentrée. Il faut dire qu’a une époque où presque toutes les séries de renom nous déçoivent, que les chefs d’œuvres se sont arrêtées, et où les petites nouvelles peinent à nous faire ressentir quelque chose, Chuck est le dernier rempart contre la morosité, le mépris du spectateur ou le conformisme ambiant.
Et c’est rempli de filles en petites tenues.
Chuck est indispensable pour survivre à la rentrée, aux exams, au chômage, au boulot, aux patrons, au froid, aux tremblements de terre.
C’est le show feel good par excellence, qui permet parfaitement de résister à l’absence de Glee comme autre anti dépresseur.
Il faut appeler Roselyne, Chuck peut faire tellement mieux pour la santé publique que des vaccins à la pelle.
Le show a mangé du lion avec ces deux épisodes palpitants, irrésistiblement funs et à l’écriture inspirée, qui se paient même le luxe d’être plus drôles que n’importe quelle reprise de sitcom actuelle. Faut dire qu’ils fabriquent tout ceci avec soin : entre une désacralisation de Captain Awesome et une sanctification officielle en tant que plus jolie fille de la terre (avec ma maman) pour Kristin Kreuk, la série sait appâter son public, et celui-ci lui rend bien.
Parce que ça ne sera jamais trop dit, ici on adore ce show, commencé modestement et qui dézingue toutes les grosses machineries sur son passage !
Qu’importent les annulations, elle survit !
Coupure dans le budget ? On soigne d’abord le script !
Moment récréatif intense et ultime, la série multiplie en plus les guests qui claquent, et font palpiter le cœur du geek. Après Tricia Helfer ou Scott Baluka l’année dernière, on a droit coup sur coup à Brandon Routh (Superman quand même, excusez du peu) et Kristin Kreuk ! Pour l’amateur lointain qui ne la connaissait qu’en lycéenne cul cul dans Smallville, le choc est frontal, et l’on a bien du mal à suivre l’épisode lorsqu’elle apparaît à l’image. A noter que les scripts sont plus ambitieux. Même s’il est difficile à ce titre de passer après le fabuleux season finale de l’année dernière (oui oui on se répète, on sait), le show évolue et n’a pas peur de proposer autre chose que ses couloirs ou ses entrepôts habituels. Et cette fois l’on voyage !
Langue étrangères, matte painting incrustées, bande son originale (l’amoureuse de Carla Bruni pour un voyage à Paris, c’est la grande classe en même temps que très amusant pour nous autres).
Chuck est donc l’incontournable de cette nouvelle année, voire même de la rentrée. Il faut dire qu’a une époque où presque toutes les séries de renom nous déçoivent, que les chefs d’œuvres se sont arrêtées, et où les petites nouvelles peinent à nous faire ressentir quelque chose, Chuck est le dernier rempart contre la morosité, le mépris du spectateur ou le conformisme ambiant.
Et c’est rempli de filles en petites tenues.
Chuck est indispensable pour survivre à la rentrée, aux exams, au chômage, au boulot, aux patrons, au froid, aux tremblements de terre.
C’est le show feel good par excellence, qui permet parfaitement de résister à l’absence de Glee comme autre anti dépresseur.
Il faut appeler Roselyne, Chuck peut faire tellement mieux pour la santé publique que des vaccins à la pelle.
9/10
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