Les Sons sont arrivés au point de non retour. Ils n’ont qu’une idée en tête : la vengeance. Et rien ni personne ne pourra se mettre en travers de leur route. Et alors que tous les éléments de cette saison s’imbriquent, on assiste à l’un des meilleurs season finale de l’histoire de la télévision.
Cette saison aura été sous tension constante.
L’agression de Gemma, la lutte intestine entre Jax et Clay, Zobelle, les irlandais, les nazis.
Chaque épisode offrait sa scène à sensation, à sueurs froides.
Multipliez ça par 50 minutes, et vous aurez une idée de ce qu’était ce season finale, à la tension capable de rendre physiquement malade, où tous les éléments de la saison se recoupent pour une déferlante de violence, de morts, d’actes inconsidérés, capables de ruiner les vies de tous les personnages du show.
On a l’impression d’assister aux seasons finales de la grande sœur, The Shield, modèle en passe d’être égalé si la troisième saison (déjà annoncée) perpétue et surpasse le bond qualitatif opéré cette année.
Alors on regarde, quasi pétrifié par le guet-apens dans lequel Kurt Sutter nous a embourbé. Le palpitant va exploser, la faute à des scènes au suspens insupportable, où on imagine que le pire pourrait arriver, et au scénario de prendre des chemins bifurqués qui vont toujours surprendre le spectateur, le prendre aux tripes. Les réactions viscérales et basiques sont le lot de cet épisode, qui fait ronger les sangs et vriller le cœur.
La fin de l’épisode, déchirante, promet une troisième saison de haute tenue,, poussant de plus en plus Jax loin de ses principes, de ses espoirs pour le club, qui s’enfonce de plus en plus dans la criminalité pour protéger les siens, pour défendre son honneur. Les personnages sont délicatement soignés, jusqu’au plus petit rôle. Même les sidekicks, les personnages bourrus à caractère plus humoristique peuvent émouvoir, et personne n’est à l’abri du déchaînement de violence.
Sons of Anarchy n’est donc plus une série à suivre, elle est devenue un incontournable, un must à ne surtout pas manquer, sous peine de rater l’un des show les plus badass, violent, rentre dedans mais aussi finement écrit de la télévision américaine. Et la plus réussie de cette saison (quoique Dexter et ses derniers épisodes n’étaient pas loin de lui ravir la place).
Un must see, indispensable à 2009.
Cette saison aura été sous tension constante.
L’agression de Gemma, la lutte intestine entre Jax et Clay, Zobelle, les irlandais, les nazis.
Chaque épisode offrait sa scène à sensation, à sueurs froides.
Multipliez ça par 50 minutes, et vous aurez une idée de ce qu’était ce season finale, à la tension capable de rendre physiquement malade, où tous les éléments de la saison se recoupent pour une déferlante de violence, de morts, d’actes inconsidérés, capables de ruiner les vies de tous les personnages du show.
On a l’impression d’assister aux seasons finales de la grande sœur, The Shield, modèle en passe d’être égalé si la troisième saison (déjà annoncée) perpétue et surpasse le bond qualitatif opéré cette année.
Alors on regarde, quasi pétrifié par le guet-apens dans lequel Kurt Sutter nous a embourbé. Le palpitant va exploser, la faute à des scènes au suspens insupportable, où on imagine que le pire pourrait arriver, et au scénario de prendre des chemins bifurqués qui vont toujours surprendre le spectateur, le prendre aux tripes. Les réactions viscérales et basiques sont le lot de cet épisode, qui fait ronger les sangs et vriller le cœur.
La fin de l’épisode, déchirante, promet une troisième saison de haute tenue,, poussant de plus en plus Jax loin de ses principes, de ses espoirs pour le club, qui s’enfonce de plus en plus dans la criminalité pour protéger les siens, pour défendre son honneur. Les personnages sont délicatement soignés, jusqu’au plus petit rôle. Même les sidekicks, les personnages bourrus à caractère plus humoristique peuvent émouvoir, et personne n’est à l’abri du déchaînement de violence.
Sons of Anarchy n’est donc plus une série à suivre, elle est devenue un incontournable, un must à ne surtout pas manquer, sous peine de rater l’un des show les plus badass, violent, rentre dedans mais aussi finement écrit de la télévision américaine. Et la plus réussie de cette saison (quoique Dexter et ses derniers épisodes n’étaient pas loin de lui ravir la place).
Un must see, indispensable à 2009.
10/10
Egalement publié sur Series Addict
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire