Lucy apprend une dure leçon : que faut-il faire pour être un docteur. En parallèle, J.D. et Turk découvrent une connexion d'amour potentiel entre Denise et le nouvel étudiant Drew...
On s’était insurgé devant le pilote, vaste recyclage bancal et rejeton bâtard de la série d’origine, tout en gardant à l’idée que la transition serait difficile, et qu’on aurait forcément du mal à abandonner une deuxième fois, et dans la douleur ce coup-ci, une série a qui on avait déjà dit adieu.
Et si le fait de revoir JD et les autres rend heureux car ils n’ont pas changés, c’est lorsqu’on se tourne vers les nouveaux personnages, casting régulier de ce Scrubs 2.0 que le problème saute aux yeux. Inintéressants, quelconques, irritants voir insupportables, le show, en se basant sur ces nouveaux internes, va perdre l’un des ingrédients qui faisait sa force : l’attachement aux personnages. Et les scénaristes s’en sont déjà rendus compte. En se concentrant quasi exclusivement sur JD, les auteurs du show font déjà état de leur incapacité à développer correctement leur nouveau show, quelque soit la qualité de celui-ci. Cet épisode ressemble alors à n’importe quel épisode de Scrubs ayant subi de sévères coupes budgétaires supprimant la moitié des personnages en même temps que la plupart des blagues.
Si l’épisode reste supportable justement grâce à la présence de Zach Braff, on tremble devant le fait déjà annoncé de la disparition de son personnage d’ici 4 épisodes.
Et ce n’est pas Turk ni le Docteur Cox qui feront le travail, tant la lassitude de leur rôle se lit sur leur visage. Si l’on était un peu optimistes, on pourrait dire que le recul de JD du show permettrait à la série de s’affranchir de son aînée et de prendre enfin son envol.
Mais ici, on est plutôt de nature défaitiste, et d’une mauvaise foi atroce.
Le show continue son petit bout de chemin vers la médiocrité. Si certains gags font sourire (la fausse bande annonce), c’est seulement grâce au souvenir que l’on garde de la série originale, la seule et unique Scrubs.
Sans JD, cette pâle récusée va sombrer, et salir à tout jamais le nom de ce qui fut jadis un merveilleux show.
On s’était insurgé devant le pilote, vaste recyclage bancal et rejeton bâtard de la série d’origine, tout en gardant à l’idée que la transition serait difficile, et qu’on aurait forcément du mal à abandonner une deuxième fois, et dans la douleur ce coup-ci, une série a qui on avait déjà dit adieu.
Et si le fait de revoir JD et les autres rend heureux car ils n’ont pas changés, c’est lorsqu’on se tourne vers les nouveaux personnages, casting régulier de ce Scrubs 2.0 que le problème saute aux yeux. Inintéressants, quelconques, irritants voir insupportables, le show, en se basant sur ces nouveaux internes, va perdre l’un des ingrédients qui faisait sa force : l’attachement aux personnages. Et les scénaristes s’en sont déjà rendus compte. En se concentrant quasi exclusivement sur JD, les auteurs du show font déjà état de leur incapacité à développer correctement leur nouveau show, quelque soit la qualité de celui-ci. Cet épisode ressemble alors à n’importe quel épisode de Scrubs ayant subi de sévères coupes budgétaires supprimant la moitié des personnages en même temps que la plupart des blagues.
Si l’épisode reste supportable justement grâce à la présence de Zach Braff, on tremble devant le fait déjà annoncé de la disparition de son personnage d’ici 4 épisodes.
Et ce n’est pas Turk ni le Docteur Cox qui feront le travail, tant la lassitude de leur rôle se lit sur leur visage. Si l’on était un peu optimistes, on pourrait dire que le recul de JD du show permettrait à la série de s’affranchir de son aînée et de prendre enfin son envol.
Mais ici, on est plutôt de nature défaitiste, et d’une mauvaise foi atroce.
Le show continue son petit bout de chemin vers la médiocrité. Si certains gags font sourire (la fausse bande annonce), c’est seulement grâce au souvenir que l’on garde de la série originale, la seule et unique Scrubs.
Sans JD, cette pâle récusée va sombrer, et salir à tout jamais le nom de ce qui fut jadis un merveilleux show.
4/10
Egalement publié sur Series Addict
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