Les révélations de Gemma font l’objet d’une bombe sur les Sons, qui cherchent absolument à se venger. Mais avant, il est temps de faire la paix et de rétablir les liens qui unissent leur famille…
Difficile de passer après l’épisode prodigieux de la semaine passée et pourtant l’équipe derrière Sons of Anarchy y arrive facilement, comme si c’était évident, et prouve ainsi que toute la saison a été pensée en amont, dans une évolution des comportements, des personnages, rare dans une industrie télévisée où tout va trop vite, où l’on sacrifie un comportement rationnel sur l’autel des rebondissements racoleurs.
Chaque personnage doit trouver, gagner son pardon, et les sentiments sont d’autant exacerbés qu’ils sont maintenant à la croisée des chemins, au bout de l’histoire. Ils ont des comptes à rendre, et la vengeance, l’amour, les remords, tout se recoupe pour former une tragédie grandiose, jusqu’à un final en forme d’happy end douloureux annonçant une fin de saison badass et bien burnée (termes qui pourraient définir l’ensemble du show d’ailleurs).
L’agression de Gemma agit comme un cataclysme sur les Sons, obligés de rouvrir des vieilles blessures pour pouvoir avancer. On peut y voir la conclusion du formidable arc autour de Ope, et une confrontation avec l’ATF glaçante, pleine de violence et de ressentiments, qui pousse à bout des personnages qui vont toujours trop loin, en même temps que des spectateurs, avec ce genre de scène d’une intensité rare.
Maintenant, on attend avec impatience la fin de saison, et l’affrontement final avec Zobelle, qui risque de faire de terribles dégâts dans les deux camps, et faire du season finale une tragédie savamment préparée, qui ne fait que monter en puissance depuis les premiers épisodes de cette année.
Après une exposition si brillante, une résolution ratée ne paraît que peu probable, même si on préfère garder un doute, le téléspectateur perdant facilement ses idoles.
En l’état Sons of Anarchy reste un diamant brut, et cet épisode ne fait que confirmer que le show mérite de statuer auprès des plus grands.
Un épisode encore une fois parfait, à l’écriture irréprochable et à la réalisation inspiré.
On est soufflé chaque semaine, et c’est très bien comme ça.
Difficile de passer après l’épisode prodigieux de la semaine passée et pourtant l’équipe derrière Sons of Anarchy y arrive facilement, comme si c’était évident, et prouve ainsi que toute la saison a été pensée en amont, dans une évolution des comportements, des personnages, rare dans une industrie télévisée où tout va trop vite, où l’on sacrifie un comportement rationnel sur l’autel des rebondissements racoleurs.
Chaque personnage doit trouver, gagner son pardon, et les sentiments sont d’autant exacerbés qu’ils sont maintenant à la croisée des chemins, au bout de l’histoire. Ils ont des comptes à rendre, et la vengeance, l’amour, les remords, tout se recoupe pour former une tragédie grandiose, jusqu’à un final en forme d’happy end douloureux annonçant une fin de saison badass et bien burnée (termes qui pourraient définir l’ensemble du show d’ailleurs).
L’agression de Gemma agit comme un cataclysme sur les Sons, obligés de rouvrir des vieilles blessures pour pouvoir avancer. On peut y voir la conclusion du formidable arc autour de Ope, et une confrontation avec l’ATF glaçante, pleine de violence et de ressentiments, qui pousse à bout des personnages qui vont toujours trop loin, en même temps que des spectateurs, avec ce genre de scène d’une intensité rare.
Maintenant, on attend avec impatience la fin de saison, et l’affrontement final avec Zobelle, qui risque de faire de terribles dégâts dans les deux camps, et faire du season finale une tragédie savamment préparée, qui ne fait que monter en puissance depuis les premiers épisodes de cette année.
Après une exposition si brillante, une résolution ratée ne paraît que peu probable, même si on préfère garder un doute, le téléspectateur perdant facilement ses idoles.
En l’état Sons of Anarchy reste un diamant brut, et cet épisode ne fait que confirmer que le show mérite de statuer auprès des plus grands.
Un épisode encore une fois parfait, à l’écriture irréprochable et à la réalisation inspiré.
On est soufflé chaque semaine, et c’est très bien comme ça.
10/10
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