Dr Teddy Altman, ancienne vétéran d'Iraq est recrutée par Owen, devenant ainsi la nouvelle chirurgienne cardiothoracique du SGH. Izzie est de retour avec son mentor du lycée qui cherche un traitement pour sa démence. Richard quand à lui ne reste pas indemne face à ses responsabilités qui résultent de la fusion...
Cet épisode signe le retour de Meredith et d’Izzie, et donc le retour à des storylines plus sages, et bien situées dans le coefficient rose bonbon du show. Plus convenues aussi, avec l’arrivée d’un nouveau dieu de la Cardio, où Izzie qui s’émeut d’un patient dont elle s’est trop entiché. On a l’impression d’avoir déjà vu ça quinze fois par saison, alors on ajoute des variantes.
Le patient vient directement du passé d’Izzie, l’attachement est donc légitime, et le dieu de la Cardio n’est peut être finalement pas si doué que ça.. Sacré suspens hein ? Après une série d’épisodes d’une tension à faire frémir les cardiaques, ce retour à un encéphalogramme plat attriste un peu, mais contentera toutes les midinettes fanas des questionnements amoureux à rallonge de la bande du Seatle Grace.
Les amateurs de médecine plus badass se seront de toute façon déjà jeté sur l’épisode de Dr House de cette semaine, avec sa porn star en détresse.
On pourra se moquer par contre du sort réservé au chef Weber, d’abord papa de substitution de Meredith et quota black sympa en début de show pour finir cette saison en tyran implacable et incompréhensible. Le personnage devient complètement détestable, enchaîne les décisions crétines et le désarroi ira jusqu’à se lire sur le visage du comédien. Et voilà qu’on nous donne une raison en fin d’épisode. Si celle-ci est compréhensible vu le passif du personnage, elle est aussi complètement stupide, facile, et arrive comme un cheveu sur la soupe. Puisque Meredith et Shepperd sont casés et béats d’amour, que Izzie et Alex sont dans l’impasse, on va rechercher des intrigues carrément incongrues pour des personnages de fond de tiroir. La série commence à subir le syndrome Urgences, et l’on peut s’inquiéter.
Sauf que cette dernière est aussi la preuve qu’un show peut survivre à ses personnages, même si l’éclat des débuts s’est éteint. Il reste néanmoins que Grey’s Anatomy est une production de qualité, fabriquée avec assez de savoir faire pour durer loin des problèmes de casting, de grossesses, ou de l’égo de ses interprètes.
Heureusement, il nous faut notre fix de rose bonbon.
Un épisode décevant, surtout après les élans interdits aux cardiaques des semaines précédentes, mais emballé avec tellement de maîtrise qu’on y trouve son compte.
Cet épisode signe le retour de Meredith et d’Izzie, et donc le retour à des storylines plus sages, et bien situées dans le coefficient rose bonbon du show. Plus convenues aussi, avec l’arrivée d’un nouveau dieu de la Cardio, où Izzie qui s’émeut d’un patient dont elle s’est trop entiché. On a l’impression d’avoir déjà vu ça quinze fois par saison, alors on ajoute des variantes.
Le patient vient directement du passé d’Izzie, l’attachement est donc légitime, et le dieu de la Cardio n’est peut être finalement pas si doué que ça.. Sacré suspens hein ? Après une série d’épisodes d’une tension à faire frémir les cardiaques, ce retour à un encéphalogramme plat attriste un peu, mais contentera toutes les midinettes fanas des questionnements amoureux à rallonge de la bande du Seatle Grace.
Les amateurs de médecine plus badass se seront de toute façon déjà jeté sur l’épisode de Dr House de cette semaine, avec sa porn star en détresse.
On pourra se moquer par contre du sort réservé au chef Weber, d’abord papa de substitution de Meredith et quota black sympa en début de show pour finir cette saison en tyran implacable et incompréhensible. Le personnage devient complètement détestable, enchaîne les décisions crétines et le désarroi ira jusqu’à se lire sur le visage du comédien. Et voilà qu’on nous donne une raison en fin d’épisode. Si celle-ci est compréhensible vu le passif du personnage, elle est aussi complètement stupide, facile, et arrive comme un cheveu sur la soupe. Puisque Meredith et Shepperd sont casés et béats d’amour, que Izzie et Alex sont dans l’impasse, on va rechercher des intrigues carrément incongrues pour des personnages de fond de tiroir. La série commence à subir le syndrome Urgences, et l’on peut s’inquiéter.
Sauf que cette dernière est aussi la preuve qu’un show peut survivre à ses personnages, même si l’éclat des débuts s’est éteint. Il reste néanmoins que Grey’s Anatomy est une production de qualité, fabriquée avec assez de savoir faire pour durer loin des problèmes de casting, de grossesses, ou de l’égo de ses interprètes.
Heureusement, il nous faut notre fix de rose bonbon.
Un épisode décevant, surtout après les élans interdits aux cardiaques des semaines précédentes, mais emballé avec tellement de maîtrise qu’on y trouve son compte.
7/10
Egalement publié sur Series Addict
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