House continue son démarquage en commençant cet épisode par quelques minutes entièrement en images de synthèse, pour décrire un nouveau jeu de réalité virtuelle certes fantasmé mais néanmoins assez réaliste. Le créateur du jeu s’effondre, générique.
Ca y est la série retombe en terrain connu après un season premiere dynamitant les codes de la série ? Pas sûr.
House n’est jamais présent sur le cas, s’occupe de sa guérison, essaie de retrouver un sens à sa vie, loin du vicodin et des cas médicaux. L’épisode suit alors Foreman, qui s’essaie aux chaussures de House, et les conséquences de cette promotion dans son couple et dans l’équipe. House était le ciment du groupe, grand seigneur ordonnant à ses valets d’obéir à ses ordres. Sans lui, l’équilibre est totalement rompu, et le spectateur se réjouit de voir autant de changements dans un show toujours réussi, mais qui commençait franchement à sentir le renfermé. Si tout sera bien entendu rétabli d’ici quelques épisodes, cette nouvelle saison s’impose comme l’entame la plus réussie depuis les débuts de la série.
House, qu’on avait laissé transformé à la fin du season finale remplit toutes les attentes qu’on avait placé dans cette nouvelle perception de son personnage, et l’on s’étonne de voir un docteur aussi joueur, rieur, qui s’essaie à la cuisine, un homme presque heureux. Mais la douleur est toujours présente, et celui-ci doit se trouver un moyen d’occuper sa nouvelle vie afin de s’éloigner de cette douleur, source de son dégoût initial pour une vie heureuse.
Le show continue donc sur sa lancée, et livre un épisode très bien écrit, où l’on désintéresse presque totalement du cas médical pour se concentrer sur House, et les effets de son internement dans son entourage (absent du season premiere). House n’est que peu présent cette semaine, et pourtant on ne parle que de lui. Preuve s’il en fallait que le show perdrait tout son intérêt sans Hugh Laurie, personnage principal de l’intrigue, et pièce maîtresse du show.
Ca y est la série retombe en terrain connu après un season premiere dynamitant les codes de la série ? Pas sûr.
House n’est jamais présent sur le cas, s’occupe de sa guérison, essaie de retrouver un sens à sa vie, loin du vicodin et des cas médicaux. L’épisode suit alors Foreman, qui s’essaie aux chaussures de House, et les conséquences de cette promotion dans son couple et dans l’équipe. House était le ciment du groupe, grand seigneur ordonnant à ses valets d’obéir à ses ordres. Sans lui, l’équilibre est totalement rompu, et le spectateur se réjouit de voir autant de changements dans un show toujours réussi, mais qui commençait franchement à sentir le renfermé. Si tout sera bien entendu rétabli d’ici quelques épisodes, cette nouvelle saison s’impose comme l’entame la plus réussie depuis les débuts de la série.
House, qu’on avait laissé transformé à la fin du season finale remplit toutes les attentes qu’on avait placé dans cette nouvelle perception de son personnage, et l’on s’étonne de voir un docteur aussi joueur, rieur, qui s’essaie à la cuisine, un homme presque heureux. Mais la douleur est toujours présente, et celui-ci doit se trouver un moyen d’occuper sa nouvelle vie afin de s’éloigner de cette douleur, source de son dégoût initial pour une vie heureuse.
Le show continue donc sur sa lancée, et livre un épisode très bien écrit, où l’on désintéresse presque totalement du cas médical pour se concentrer sur House, et les effets de son internement dans son entourage (absent du season premiere). House n’est que peu présent cette semaine, et pourtant on ne parle que de lui. Preuve s’il en fallait que le show perdrait tout son intérêt sans Hugh Laurie, personnage principal de l’intrigue, et pièce maîtresse du show.
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