Il est difficile d’être objectif. Quand on aime, on a toujours tendance à pardonner, détourner le regard sur ce qui ne nous plaît pas, passer sous silence…
Et pourtant, il faut parfois se faire une raison. Cette fin de saison de ce bonheur du show est tout sauf enthousiasmante, se révèle même anecdotique, fonctionnant toujours selon le même schéma.
Encore une fois cette semaine, Vince baise, Drama fait une crise de panique lors d’un casting, Eric veut reconquérir Sloan (oh pitiééééééééééé), et Ari fait le show, grâce à des rivalités et personnages qu’on pensait enterrés (le retour de Malcolm McDowell avec une offre qu’on ne peut refuser). Cette astuce scénaristique semble n’exister que pour rehausser l’intérêt du show juste avant le season finale, alors que celui-ci avait toutes les cartes en main pour la finir en beauté. Hélas, les arcs autours de Drama (et son producteur bourreau) et la guerre entre Ari et Llyod étaient pleins de promesses, qu’on sait aujourd’hui gâchées, sacrifiées sous l’autel de la facilité et des histoires de cœurs ronflantes de E. Vu le penchant de l’acteur pour les comédies romantiques (au moins trois apparitions dans le genre cette année), les auteurs ont sûrement cru bon de surfer sur la vague. Bien mal leur en a pris.
Alors certes, c’est vraiment plaisant, on retrouve le ton décontracté de la série et ses dialogues chatoyant qui claquent en bouche mais on ressent une lassitude à peine cachée des scénaristes, qui recyclent encore et toujours les mêmes histoires, jusqu’à tomber dans le vulgaire (Eric qui a peur d’avoir choppé une MST, franchement, on nous a habitué à mieux). Le show fonctionne toujours parfaitement, du moment qu’on le considère en fast-food. Sur le coup c’est délicieux, mais c’est vite oublié et parfois un peu gras en bouche. On a un peu de mal à digérer ce déclin après avoir autant acclamé le show (promis on arrête là les métaphores culinaires), mais il faut parfois se faire une raison.
On verra ce que va donner le season finale, mais l’intrigue n’a jamais été aussi quelconque.
Peut-être que cette année, la séparation sera moins douloureuse.
Et pourtant, il faut parfois se faire une raison. Cette fin de saison de ce bonheur du show est tout sauf enthousiasmante, se révèle même anecdotique, fonctionnant toujours selon le même schéma.
Encore une fois cette semaine, Vince baise, Drama fait une crise de panique lors d’un casting, Eric veut reconquérir Sloan (oh pitiééééééééééé), et Ari fait le show, grâce à des rivalités et personnages qu’on pensait enterrés (le retour de Malcolm McDowell avec une offre qu’on ne peut refuser). Cette astuce scénaristique semble n’exister que pour rehausser l’intérêt du show juste avant le season finale, alors que celui-ci avait toutes les cartes en main pour la finir en beauté. Hélas, les arcs autours de Drama (et son producteur bourreau) et la guerre entre Ari et Llyod étaient pleins de promesses, qu’on sait aujourd’hui gâchées, sacrifiées sous l’autel de la facilité et des histoires de cœurs ronflantes de E. Vu le penchant de l’acteur pour les comédies romantiques (au moins trois apparitions dans le genre cette année), les auteurs ont sûrement cru bon de surfer sur la vague. Bien mal leur en a pris.
Alors certes, c’est vraiment plaisant, on retrouve le ton décontracté de la série et ses dialogues chatoyant qui claquent en bouche mais on ressent une lassitude à peine cachée des scénaristes, qui recyclent encore et toujours les mêmes histoires, jusqu’à tomber dans le vulgaire (Eric qui a peur d’avoir choppé une MST, franchement, on nous a habitué à mieux). Le show fonctionne toujours parfaitement, du moment qu’on le considère en fast-food. Sur le coup c’est délicieux, mais c’est vite oublié et parfois un peu gras en bouche. On a un peu de mal à digérer ce déclin après avoir autant acclamé le show (promis on arrête là les métaphores culinaires), mais il faut parfois se faire une raison.
On verra ce que va donner le season finale, mais l’intrigue n’a jamais été aussi quelconque.
Peut-être que cette année, la séparation sera moins douloureuse.
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