Film pour geeks par des geeks, Ultimate Game, sous ses oripeaux de baston badass et son mauvais goût bien gras, est aussi moins régressif qu’il n’en a l’air. Dans cette description d’une société soumise aux jeux de rôles virtuels, où toutes les transgressions sont possibles (drogue, sexe, meurtre) jusqu’à y abandonner sa propre vie, les auteurs, déjà responsables du crétin mais jouissif Crank, inventent un monde déglingué pas si improbable, et distillent peu à peu un malaise palpable.
Improvisant des cadres et des plans inédits, les deux bonhommes tentent une symbiose entre cinéma et jeu vidéo visuellement réussie, bugs et lag compris.
Et Michael C. Hall cabotine avec joie (jusqu’à avoir son propre numéro musical sorti tout droit de Broadway).
Sûrement trop porté sur les petites culottes et la violence décomplexée pour avoir un véritable impact, le film dévoile une autre facette de Neveldine et Taylor, qui ne sont pas que des prépubaires de 40 balais qui s’amusent à exploser des trucs avec Jason Statham.
Aux commandes d’un véritable sujet, un projet audacieux et mature, ils seraient bien capables d’étonner tout leur monde.
Mais difficile de dépasser le stade anal.
Improvisant des cadres et des plans inédits, les deux bonhommes tentent une symbiose entre cinéma et jeu vidéo visuellement réussie, bugs et lag compris.
Et Michael C. Hall cabotine avec joie (jusqu’à avoir son propre numéro musical sorti tout droit de Broadway).
Sûrement trop porté sur les petites culottes et la violence décomplexée pour avoir un véritable impact, le film dévoile une autre facette de Neveldine et Taylor, qui ne sont pas que des prépubaires de 40 balais qui s’amusent à exploser des trucs avec Jason Statham.
Aux commandes d’un véritable sujet, un projet audacieux et mature, ils seraient bien capables d’étonner tout leur monde.
Mais difficile de dépasser le stade anal.
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