Pour sûr, on l’attendait.
Après un season final éblouissant, qui prenait le spectateur et le personnage à revers pour lui assener un coup fatal dont il aura du mal à se relever, les auteurs frappent encore un grand coup dans cette œuvre qui dépasse clairement son simple statut télévisé, et dont la qualité d’écriture et d’interprétation explosent littéralement les standards habituels du show, déjà d’un niveau impressionnant.
Pas de cas difficilement solvable, pas d’énigme médicale, ni d’équipe, ni de Cuddy. Juste House, ses fêlures, ses blessures, ses névroses, exposées et mis à nu dans ce film (le mot est lâché) lorgnant plus vers In Treatment que la construction procédurale habituelle (un épisode, un cas).
Et le résultat est impressionnant. Un House qui se transforme, qui devient méconnaissable, qui se trompe, comprend ses erreurs, se repends. House apprend à redevenir quelqu’un. A fleur de peau tout le long du métrage, Hugh Laurie est juste parfait, redéfinissant le personnage qu’il connaît si bien à mesure que la série fait trembler ses bases. Une vague de fraîcheur salvatrice dans l’univers trop engoncé des shows à stand alone, qui finissent toujours par lasser.
Pas House.
On est impressionné par la qualité d’un tel épisode, déferlement d’émotions avec son final bouleversant, ou encore l’attitude d’un House rebelle qui fait rire aux éclats. Peut être le meilleur épisode de la série, la grosse masterpiece dans la tronche. Et pourtant le show a déjà eu ses coûts d’éclats, que ça soit le mythique épisode Three Stories avec Carmen Electra, ou encore les apocalyptiques season finale de 2008 et 2009. Reste que le show effectue un départ en trombe, en laissant la concurrence loin derrière. Et si la Fox continue à ruiner des films ou des séries à concepts ingénieux mais qui souffrent côté audience, on peut se féliciter qu’elle soigne aussi bien sa poule aux œufs d’or. Un épisode si atypique et tellement loin des conventions en season premiere constitue une sacrée prise de risque.
On a jamais été aussi impatient de voir ce que le futur nous réserve, avec ce Gregory House nouveau. Toute la dynamique du show risque d’être bouleversée. En espérant que les auteurs en aient encore sous le coude, et qu’ils n’aient pas grillé toutes leurs cartouches avec ce double épisode. Vu la qualité de celui-ci, cette interrogation n’est qu’un délit de mauvaise foi carabinée.
Après un season final éblouissant, qui prenait le spectateur et le personnage à revers pour lui assener un coup fatal dont il aura du mal à se relever, les auteurs frappent encore un grand coup dans cette œuvre qui dépasse clairement son simple statut télévisé, et dont la qualité d’écriture et d’interprétation explosent littéralement les standards habituels du show, déjà d’un niveau impressionnant.
Pas de cas difficilement solvable, pas d’énigme médicale, ni d’équipe, ni de Cuddy. Juste House, ses fêlures, ses blessures, ses névroses, exposées et mis à nu dans ce film (le mot est lâché) lorgnant plus vers In Treatment que la construction procédurale habituelle (un épisode, un cas).
Et le résultat est impressionnant. Un House qui se transforme, qui devient méconnaissable, qui se trompe, comprend ses erreurs, se repends. House apprend à redevenir quelqu’un. A fleur de peau tout le long du métrage, Hugh Laurie est juste parfait, redéfinissant le personnage qu’il connaît si bien à mesure que la série fait trembler ses bases. Une vague de fraîcheur salvatrice dans l’univers trop engoncé des shows à stand alone, qui finissent toujours par lasser.
Pas House.
On est impressionné par la qualité d’un tel épisode, déferlement d’émotions avec son final bouleversant, ou encore l’attitude d’un House rebelle qui fait rire aux éclats. Peut être le meilleur épisode de la série, la grosse masterpiece dans la tronche. Et pourtant le show a déjà eu ses coûts d’éclats, que ça soit le mythique épisode Three Stories avec Carmen Electra, ou encore les apocalyptiques season finale de 2008 et 2009. Reste que le show effectue un départ en trombe, en laissant la concurrence loin derrière. Et si la Fox continue à ruiner des films ou des séries à concepts ingénieux mais qui souffrent côté audience, on peut se féliciter qu’elle soigne aussi bien sa poule aux œufs d’or. Un épisode si atypique et tellement loin des conventions en season premiere constitue une sacrée prise de risque.
On a jamais été aussi impatient de voir ce que le futur nous réserve, avec ce Gregory House nouveau. Toute la dynamique du show risque d’être bouleversée. En espérant que les auteurs en aient encore sous le coude, et qu’ils n’aient pas grillé toutes leurs cartouches avec ce double épisode. Vu la qualité de celui-ci, cette interrogation n’est qu’un délit de mauvaise foi carabinée.
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