Un film effarant, qui explose les limites de la connerie, tout en prenant le grand risque de laisser pas mal de monde sur le carreau.
Heureusement pour nous, c’est génialissime.
Certes, trois fois certes, le film est réservé à une plèbe conscient que ce qu’elle va vivre dépasse de loin les limites de la bienséance, pensez vous : la mafia du porno qui contrôle Los Angeles et que devra combattre le mormon Orgazmo et son orgazmo rayon (qui comme son nom l’indique, …vous avez compris), aidé à la tâche par son fidèle sous fifre, le non moins célèbre Choda Boy et sa perfide et mortelle technique Hamster.
Si l’on reconnaît bien là la patte déjantée de Trey Parker, le film déçoit sur deux point cruciaux : un seul type d’humour, celui naissant du décalage mormon/porno que l’on a connu beaucoup plus subtil et surtout ratissant plus large, ainsi que le cruel manque de chansons, mise à part la splendide chanson titre, Now you’re a Man et ses paroles spirituelles raisonnant en chacun de nous.
Là où le film fait par contre très fort, c’est dans le nombre de guest de stars du porno américain dans des rôles et des situations plus qu’improbables (Ron Jeremy en Spermix Zéro remportant facilement la palme), et une ambition à la hauteur des aspirations du bonhomme.
Ainsi, contrairement à Cannibal the Musical, nous sommes ici en face d’un vrai film professionnel, enfin.
Difficile peut être de rentrer totalement dans ce total n’importe quoi scénaristique, mais pour les fanas du maître c’est franchement jubilatoire.
Un truc totalement con, qui s’assume et qui en rajoute encore plus pour une escalade prodigieuse dans la débilité régressive.
C’est réjouissant, euphorisant et complètement abruti.
Mais c’est aussi le moins réussi des films de Trey Parker.
Heureusement pour nous, c’est génialissime.
Certes, trois fois certes, le film est réservé à une plèbe conscient que ce qu’elle va vivre dépasse de loin les limites de la bienséance, pensez vous : la mafia du porno qui contrôle Los Angeles et que devra combattre le mormon Orgazmo et son orgazmo rayon (qui comme son nom l’indique, …vous avez compris), aidé à la tâche par son fidèle sous fifre, le non moins célèbre Choda Boy et sa perfide et mortelle technique Hamster.
Si l’on reconnaît bien là la patte déjantée de Trey Parker, le film déçoit sur deux point cruciaux : un seul type d’humour, celui naissant du décalage mormon/porno que l’on a connu beaucoup plus subtil et surtout ratissant plus large, ainsi que le cruel manque de chansons, mise à part la splendide chanson titre, Now you’re a Man et ses paroles spirituelles raisonnant en chacun de nous.
Là où le film fait par contre très fort, c’est dans le nombre de guest de stars du porno américain dans des rôles et des situations plus qu’improbables (Ron Jeremy en Spermix Zéro remportant facilement la palme), et une ambition à la hauteur des aspirations du bonhomme.
Ainsi, contrairement à Cannibal the Musical, nous sommes ici en face d’un vrai film professionnel, enfin.
Difficile peut être de rentrer totalement dans ce total n’importe quoi scénaristique, mais pour les fanas du maître c’est franchement jubilatoire.
Un truc totalement con, qui s’assume et qui en rajoute encore plus pour une escalade prodigieuse dans la débilité régressive.
C’est réjouissant, euphorisant et complètement abruti.
Mais c’est aussi le moins réussi des films de Trey Parker.
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