Enfin, après 27 ans et des brouettes, quel bonheur de retrouver ces 6 là, qu’on jurerai ne jamais avoir quitté.
Comme d’habitude, c’est terriblement drôle, frais, fleure bon les vacances et les dialogues cultes.
Le Splendid nous revient au top de sa forme pour un nouveau film en passe à être multi rediffusé sur TF1 à 15 millions de spectateurs.
C’est normal, c’est génialement écrit, joué, tourné.
Ils ont réussi leur pari.
Réussi ?
Bien sûr que non !
Ces bronzés sont bel et bien une bonne grosse purge, à 35 millions d’€uros quand même.
Alors bien sûr ça marchera, bien sûr TF1 rediffusera, mais dieu que c’est nul !
Plat, à l’intrigue niaise et tellement aberrante qu’on en arrive à penser que les nègres du Splendid des années 70 sont partis voir ailleurs.
En résumé : des personnages navrants, une griffe diabolique, un enfant illégitime, entre autre choses, car le scénario change toutes les 15 minutes.
On y essaie de faire rire, ça ne marche pas, on passe à autre chose.
Et au film de s’enfoncer de plus en plus dans sa médiocrité béante et avilissant le spectateur.
Spectateur, qu’on prend ici volontairement pour un gogo en essayant de faire rire avec chute dans la piscine, et euh… c’est tout en fait.
Car à la fin des Bronzés 3 (et de ce truc horrible avec Zucchero) on en arrive à une conclusion.
Les Bronzés, ça n’a jamais été drôle.
Et cet opus là nous le démontre clairement.
Alors on peut trouver facile de tirer sur l’ambulance, mais Les Bronzés 3 ne fait jamais sourire, ne serait-ce une seule fois.
C’est tellement navrant qu’on a honte pour eux.
Heureusement, ça ne dure pas trop longtemps, et on en est vite débarrassé.
En espérant en revoir un autre d’ici 30 ans.
Entre les odeurs d’urine, et les amours de gâteux, on risque enfin de s’y intéresser.
En attendant, on est bien content de ne pas avoir payé pour ce machin, et on ira crier à qui veux l’entendre à quel point ce film est mauvais.
Le monde doit savoir.
Comme d’habitude, c’est terriblement drôle, frais, fleure bon les vacances et les dialogues cultes.
Le Splendid nous revient au top de sa forme pour un nouveau film en passe à être multi rediffusé sur TF1 à 15 millions de spectateurs.
C’est normal, c’est génialement écrit, joué, tourné.
Ils ont réussi leur pari.
Réussi ?
Bien sûr que non !
Ces bronzés sont bel et bien une bonne grosse purge, à 35 millions d’€uros quand même.
Alors bien sûr ça marchera, bien sûr TF1 rediffusera, mais dieu que c’est nul !
Plat, à l’intrigue niaise et tellement aberrante qu’on en arrive à penser que les nègres du Splendid des années 70 sont partis voir ailleurs.
En résumé : des personnages navrants, une griffe diabolique, un enfant illégitime, entre autre choses, car le scénario change toutes les 15 minutes.
On y essaie de faire rire, ça ne marche pas, on passe à autre chose.
Et au film de s’enfoncer de plus en plus dans sa médiocrité béante et avilissant le spectateur.
Spectateur, qu’on prend ici volontairement pour un gogo en essayant de faire rire avec chute dans la piscine, et euh… c’est tout en fait.
Car à la fin des Bronzés 3 (et de ce truc horrible avec Zucchero) on en arrive à une conclusion.
Les Bronzés, ça n’a jamais été drôle.
Et cet opus là nous le démontre clairement.
Alors on peut trouver facile de tirer sur l’ambulance, mais Les Bronzés 3 ne fait jamais sourire, ne serait-ce une seule fois.
C’est tellement navrant qu’on a honte pour eux.
Heureusement, ça ne dure pas trop longtemps, et on en est vite débarrassé.
En espérant en revoir un autre d’ici 30 ans.
Entre les odeurs d’urine, et les amours de gâteux, on risque enfin de s’y intéresser.
En attendant, on est bien content de ne pas avoir payé pour ce machin, et on ira crier à qui veux l’entendre à quel point ce film est mauvais.
Le monde doit savoir.
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