Aliens versus Predator était l'exemple même de la torpeur dans laquelle s'enfonce le cinéma américain depuis 10 ans.
Deux franchises réussies, avec à leur tête leur propre icône et une mythologie génialissime.
Et au final un film raté parce que ne répondant qu'aux soucis de production et de rentabilité actuels. Pire, maintenant devenus des pompes à fric, on ne reconnaissait même plus les monstres des sagas originales, qui avaient tant su nous faire vibrer dans les années 80 et 90.
Au numéro deux de surmonter tout ça, et vas y qu'on nous allèche avec des photos du prédator alien, des réalisateurs geek fan des deux séries, et une promesse d'un film plus méchant, plus gore, old school.
Eh bien si on se met dans la tête que ça n'arrivera jamais à dépasser les franchises originales, on n'est pas exempt de passer un bon moment, surtout qu'un bon gros blockbuster est l'occasion idéale de se remettre des fêtes.
C'est bourrin, bas de plafond comme c'est pas permis, et y'a une énorme pelletée de mort, que demander de plus ?
Plus de gore et moins de gros plans illisibles.
Par pitié, qu'on embauche des réalisateurs un tant soi peu capables, parce que là c'est plus possible. Car outre la mythologie, c'est ce simple détail qui faisait la force des autres opus.
Un effort cependant : on est loin ici de la nullité du premier opus - mais c'est vrai aussi qu'il était facilement surpassable.
Le contrat n'est rempli qu'a moitié, mais le film est une bonne occasion de se vider la tête devant quelques morts. Et puis de toute façon, les films sont déjà ruinés, alors un de plus ou un de moins...
En tout cas, on ne se fera plus avoir par des promesses de sagas ressuscitées.
La série des Alien vs Predator n'aurait jamais du exister, et c'est maintenant officiel.
Deux franchises réussies, avec à leur tête leur propre icône et une mythologie génialissime.
Et au final un film raté parce que ne répondant qu'aux soucis de production et de rentabilité actuels. Pire, maintenant devenus des pompes à fric, on ne reconnaissait même plus les monstres des sagas originales, qui avaient tant su nous faire vibrer dans les années 80 et 90.
Au numéro deux de surmonter tout ça, et vas y qu'on nous allèche avec des photos du prédator alien, des réalisateurs geek fan des deux séries, et une promesse d'un film plus méchant, plus gore, old school.
Eh bien si on se met dans la tête que ça n'arrivera jamais à dépasser les franchises originales, on n'est pas exempt de passer un bon moment, surtout qu'un bon gros blockbuster est l'occasion idéale de se remettre des fêtes.
C'est bourrin, bas de plafond comme c'est pas permis, et y'a une énorme pelletée de mort, que demander de plus ?
Plus de gore et moins de gros plans illisibles.
Par pitié, qu'on embauche des réalisateurs un tant soi peu capables, parce que là c'est plus possible. Car outre la mythologie, c'est ce simple détail qui faisait la force des autres opus.
Un effort cependant : on est loin ici de la nullité du premier opus - mais c'est vrai aussi qu'il était facilement surpassable.
Le contrat n'est rempli qu'a moitié, mais le film est une bonne occasion de se vider la tête devant quelques morts. Et puis de toute façon, les films sont déjà ruinés, alors un de plus ou un de moins...
En tout cas, on ne se fera plus avoir par des promesses de sagas ressuscitées.
La série des Alien vs Predator n'aurait jamais du exister, et c'est maintenant officiel.
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