Un ami et ancien patient de Wilson se retrouve paralysé du bras. House y voit un nouveau cancer, mais Wilson refuse ce diagnostic…
Chic, un épisode centré sur Wilson !
Aussi drôle qu’émouvant, cet épisode permet de se rendre compte de ce qu’aurait pu être la série si elle s’appelait Wilson au lieu de House, celui-ci étant relégué au rang de sidekick un peu fou. Voir les auteurs jouer avec les codes du show est hilarant (le cas médical de House n’étant réduit qu’a un ensemble de gimmicks) et les acteur (formidable Hugh Laurie) s’en donnent à cœur joie.
Néanmoins, Wilson étant cancérologue, l’émotion se fait bien plus présente dans cet épisode, notamment le fait de se rattacher à une maladie beaucoup plus commune et irrémédiable.
L’énigme médicale est bien présente, mais elle est également évidente. Dès lors l’épisode s’attache à exprimer comment la maladie peut détruire ou réunir une famille, et surtout sonde la personnalité de Wilson. Souffre douleur mais également le meilleur ami pour House, Wilson a toujours été traité à distance par les auteurs, et toujours selon le point de vue de House. Ici, les rôles sont inversés et l’effet est réussi. La dualité est présente dans les deux personnages et il est impossible de prendre parti, tant leur relation est complémentaire pour l’un comme pour l’autre.
Les deux hommes passent par de nombreux états, et le spectateur peut comprendre de quoi leur amitié est vraiment faite. Si dans les autres épisodes, Wilson passe pour un simple punching-ball des réparties de House, les deux hommes ont en fait besoin l’un de l’autre, et cette astuce narrative permet de comprendre, et de voir House comme un véritable ami.
Cet épisode a pour objet de briser la carapace de Wilson comme de House, et d’exprimer, tout en pudeur et non dits, l’amitié profonde qui unit les deux hommes.
C’est réussi, drôle et émouvant, et ça s’éloigne des carcans habituels du show.
Une sucrerie narrative réussie, comme à chaque fois où la série joue avec ses codes.
Chic, un épisode centré sur Wilson !
Aussi drôle qu’émouvant, cet épisode permet de se rendre compte de ce qu’aurait pu être la série si elle s’appelait Wilson au lieu de House, celui-ci étant relégué au rang de sidekick un peu fou. Voir les auteurs jouer avec les codes du show est hilarant (le cas médical de House n’étant réduit qu’a un ensemble de gimmicks) et les acteur (formidable Hugh Laurie) s’en donnent à cœur joie.
Néanmoins, Wilson étant cancérologue, l’émotion se fait bien plus présente dans cet épisode, notamment le fait de se rattacher à une maladie beaucoup plus commune et irrémédiable.
L’énigme médicale est bien présente, mais elle est également évidente. Dès lors l’épisode s’attache à exprimer comment la maladie peut détruire ou réunir une famille, et surtout sonde la personnalité de Wilson. Souffre douleur mais également le meilleur ami pour House, Wilson a toujours été traité à distance par les auteurs, et toujours selon le point de vue de House. Ici, les rôles sont inversés et l’effet est réussi. La dualité est présente dans les deux personnages et il est impossible de prendre parti, tant leur relation est complémentaire pour l’un comme pour l’autre.
Les deux hommes passent par de nombreux états, et le spectateur peut comprendre de quoi leur amitié est vraiment faite. Si dans les autres épisodes, Wilson passe pour un simple punching-ball des réparties de House, les deux hommes ont en fait besoin l’un de l’autre, et cette astuce narrative permet de comprendre, et de voir House comme un véritable ami.
Cet épisode a pour objet de briser la carapace de Wilson comme de House, et d’exprimer, tout en pudeur et non dits, l’amitié profonde qui unit les deux hommes.
C’est réussi, drôle et émouvant, et ça s’éloigne des carcans habituels du show.
Une sucrerie narrative réussie, comme à chaque fois où la série joue avec ses codes.
7.5/10
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