La ville de South Park est victime d'une forte attaque de motards. Les enfants les appellent "Fags" (fiottes) et décident de riposter contre leur bruit croissant. Ils décident donc de chier sur les sièges de leurs motos et de tagguer sur les murs "Dehors les fiottes". Cependant la population homosexuelle, menée par Mr Esclave et Al Super Gay, se sent très offensée. Mme le Maire vient à l'école pour dénicher les coupables, mais les garçons, persuadés d'être dans leur bon droit, se dénoncent.
Imaginez.
Imaginez que vous êtes une personne naine d’esprit, qui lit Kant pour se réveiller le matin, qui se pignole à utiliser le latin comme langage courant (eh oui, vous êtes prof de droit), et vous élevez la culture et l’intelligence comme art supérieur. Et puis vous tombez sur cet épisode de South Park.
La connerie vous interpelle, vous pénètre.
Vous n’êtes plus vous-même, vous rigolez grassement alors cela vous avait pris des années de travail à inventer un rire snob et silencieux pour les soirées de l’ambassadeur.
Et là, des motards sortis tout droits de Sons of Anarchy, qui essayent d’avoir l’air cool en faisant le plus de bruit possible, trompette, coq et bruitage à la bouche compris, vous achèvent.
Morts pas trop de connerie.
Mais quelle mort merveilleuse !
L’épisode de cette semaine, tout en extrême, ira tester les limites du spectateur avec le show. S’il résiste, mieux s’il se marre avec cette histoire d’une bêtise absolue mais jouissive, c’est qu’il peut se gaver de tous les autres épisodes de la série jusqu'à plus soif, jamais le show ne lui fera défaut, jamais il ne sentira trop vieux pour ces conneries, ou que son humour n’est pas adapté aux idées crétines de Matt Stone et Trey Parker. Un épisode hardcore donc, plein de messages et de morale décalés, qui ravira les fans et désespèreront les tristes sires.
Comme à chaque semaine.
Hélas, le bonheur est toujours de courte durée, et il ne reste plus que deux petits malheureux épisodes avant la nouvelle saison et une attente cruelle de plus de 6 mois.
Si nous n’avons pas encore profité d’épisodes extraordinaires, on remarque tout de même que le show reste fidèle à sa connerie, et d’une qualité jamais démentie (ni égalée).
Un épisode drôle mais d’une connerie abyssale, qui accentuera encore la scission entre les fans et ceux qui considèrent toujours South Park comme un parangon puéril de vulgarité crasse.
Comme on les plaint.
Imaginez.
Imaginez que vous êtes une personne naine d’esprit, qui lit Kant pour se réveiller le matin, qui se pignole à utiliser le latin comme langage courant (eh oui, vous êtes prof de droit), et vous élevez la culture et l’intelligence comme art supérieur. Et puis vous tombez sur cet épisode de South Park.
La connerie vous interpelle, vous pénètre.
Vous n’êtes plus vous-même, vous rigolez grassement alors cela vous avait pris des années de travail à inventer un rire snob et silencieux pour les soirées de l’ambassadeur.
Et là, des motards sortis tout droits de Sons of Anarchy, qui essayent d’avoir l’air cool en faisant le plus de bruit possible, trompette, coq et bruitage à la bouche compris, vous achèvent.
Morts pas trop de connerie.
Mais quelle mort merveilleuse !
L’épisode de cette semaine, tout en extrême, ira tester les limites du spectateur avec le show. S’il résiste, mieux s’il se marre avec cette histoire d’une bêtise absolue mais jouissive, c’est qu’il peut se gaver de tous les autres épisodes de la série jusqu'à plus soif, jamais le show ne lui fera défaut, jamais il ne sentira trop vieux pour ces conneries, ou que son humour n’est pas adapté aux idées crétines de Matt Stone et Trey Parker. Un épisode hardcore donc, plein de messages et de morale décalés, qui ravira les fans et désespèreront les tristes sires.
Comme à chaque semaine.
Hélas, le bonheur est toujours de courte durée, et il ne reste plus que deux petits malheureux épisodes avant la nouvelle saison et une attente cruelle de plus de 6 mois.
Si nous n’avons pas encore profité d’épisodes extraordinaires, on remarque tout de même que le show reste fidèle à sa connerie, et d’une qualité jamais démentie (ni égalée).
Un épisode drôle mais d’une connerie abyssale, qui accentuera encore la scission entre les fans et ceux qui considèrent toujours South Park comme un parangon puéril de vulgarité crasse.
Comme on les plaint.
8/10
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