Ca va bientôt faire un an que The Shield n’est plus.
Le monde est devenu terne, sans saveurs, et les membres de cette grande secte se sont peu à peu rétablis, revivre loin des aventures de la Strike Team, peut être même en ayant une vie sociale.
Les lâches.
Les vrais fans étaient censés mourir en même temps que leur show, la vie n’ayant depuis aucune espèce d’importance. Et puis on s’est dit que finalement, lui trouver un remplacement était sûrement plus malin à faire. Il n’aura pas fallu aller chercher bien loin grâce à Kurt Sutter, scénariste de The Shield, et qui, avec sa bande de bikers établit une certaine continuité de l’univers de la série mère.
Si la série est encore loin du niveau stratosphérique de son aîné, chaque épisode est une nouvelle leçon de savoir faire, où l’on retrouve l’exigence the shieldienne dans des intrigues où tout se recoupe, des arcs scénaristiques en forme de crescendo, où chaque action a ses conséquences dévastatrices, dans un terrible jeu de domino humain. On y assiste également aux même saynètes de la vie de malfrats, où comment monter une entreprise criminelle qui monte et s’étend (leçon de cette semaine : le commerce porno). C’est un peu drôle, un peu violent, parfois trash, mais complètement dans le ton de The Shield.
L’épisode de la semaine continue sur la directe lancée du season premiere : on s’interroge sur le véritable plan des aryens, le conflit interne entre Jax et Clay sur le point d’éclater, et Gemma, formidable Katey Segal, capable de passer sous silence une violente agression pour le bien du club.
Alors que la première saison démontrait à quel point les liens entre Samcros étaient forts, cette nouvelle année s’évertue à les détruire. La dernière réplique de cet épisode est d’ailleurs symptomatique de la nouvelle direction du show : Une scène tout sauf anodine entre une mère et son fils qui partagent tout, sauf l’essentiel.
« You okay ? » Bien sûr que non, et au spectateur de se délecter d’une série franchement réussie.
Le monde est devenu terne, sans saveurs, et les membres de cette grande secte se sont peu à peu rétablis, revivre loin des aventures de la Strike Team, peut être même en ayant une vie sociale.
Les lâches.
Les vrais fans étaient censés mourir en même temps que leur show, la vie n’ayant depuis aucune espèce d’importance. Et puis on s’est dit que finalement, lui trouver un remplacement était sûrement plus malin à faire. Il n’aura pas fallu aller chercher bien loin grâce à Kurt Sutter, scénariste de The Shield, et qui, avec sa bande de bikers établit une certaine continuité de l’univers de la série mère.
Si la série est encore loin du niveau stratosphérique de son aîné, chaque épisode est une nouvelle leçon de savoir faire, où l’on retrouve l’exigence the shieldienne dans des intrigues où tout se recoupe, des arcs scénaristiques en forme de crescendo, où chaque action a ses conséquences dévastatrices, dans un terrible jeu de domino humain. On y assiste également aux même saynètes de la vie de malfrats, où comment monter une entreprise criminelle qui monte et s’étend (leçon de cette semaine : le commerce porno). C’est un peu drôle, un peu violent, parfois trash, mais complètement dans le ton de The Shield.
L’épisode de la semaine continue sur la directe lancée du season premiere : on s’interroge sur le véritable plan des aryens, le conflit interne entre Jax et Clay sur le point d’éclater, et Gemma, formidable Katey Segal, capable de passer sous silence une violente agression pour le bien du club.
Alors que la première saison démontrait à quel point les liens entre Samcros étaient forts, cette nouvelle année s’évertue à les détruire. La dernière réplique de cet épisode est d’ailleurs symptomatique de la nouvelle direction du show : Une scène tout sauf anodine entre une mère et son fils qui partagent tout, sauf l’essentiel.
« You okay ? » Bien sûr que non, et au spectateur de se délecter d’une série franchement réussie.
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