Après une pause d’une semaine pour cause de Labour Day, on retrouve notre joyeuse bande dans cet épisode concentré sur Ari & Lloyd et du développement de la storyline concernant l’esclavagisme de Lloyd et la promesse d’Ari d’en faire un véritable agent. Incluant Zac (Hiiiiiiiiiiiiii) Efron dans l’équation, l’histoire n’est pas prête d’être résolue, et annonce un prochain épisode savoureux, avec un Ari Gold de nouveau sur le pied de guerre.
Dommage qu’on ne puisse pas trop en révéler dans cette chronique, même si on voit l’astuce venir depuis le début de la saison. L’épisode multiplie les caméos, car après Zac (Hiiiiiiiiiiiiii) Efron se ramène Frank Darabont en maniaque des armes affichant une casquette « Think like Clint » du plus bel effet. Les guests s’amusent avec leur image et les spectateurs, à l’instar de ce Zac (Hiiiiiiiiiiiiii) Efron dragué par une mère de famille du double de son âge. Et on ne s’éloigne sûrement que peu de la réalité.
Drama doit enfin subir les conséquences de son affrontement avec le producteur, mais on est loin du déferlement biblique annoncé, juste quelques crasses de cour d’école. Mais on sait bien que les scénaristes en gardent sous le coude pour le final. Reste que son enquête en plein sex shop sur le stalker vaut son pesant d’hilarité, et surtout dévoile un passif du personnage qu’on imaginait à peine. A noter que cet arc trouvera sa résolution ici après seulement 3 épisodes. C’est un peu court, et fait surtout office de remplissage que de réelle histoire importante. Dommage, car on sait les auteurs capables de faire mieux. Mais sexe débridé et cool attitude sont la recette du programme depuis ses débuts et cet épisode ne déroge pas à la règle. On retrouve également l’intrigue du pauvre avec Eric et ses problèmes de couple, et bien évidemment la petite Ashley devient folle de jalousie. On navigue dans les eaux connues du sitcom de base, mais on garde espoir dans une résolution furieuse, avec pourquoi pas un combat de bimbos entre Ashley et Sloan.
Si possible dans de la gelée de groseilles.
Si si.
L’épisode, entre fin d’arc et rebondissement attendu annonce néanmoins un final retentissant, même s’il n’aura que peu d’effet sur la bande de Vince, le stalker étant hors du coup.
Comme toujours, vivement la semaine prochaine.
Dommage qu’on ne puisse pas trop en révéler dans cette chronique, même si on voit l’astuce venir depuis le début de la saison. L’épisode multiplie les caméos, car après Zac (Hiiiiiiiiiiiiii) Efron se ramène Frank Darabont en maniaque des armes affichant une casquette « Think like Clint » du plus bel effet. Les guests s’amusent avec leur image et les spectateurs, à l’instar de ce Zac (Hiiiiiiiiiiiiii) Efron dragué par une mère de famille du double de son âge. Et on ne s’éloigne sûrement que peu de la réalité.
Drama doit enfin subir les conséquences de son affrontement avec le producteur, mais on est loin du déferlement biblique annoncé, juste quelques crasses de cour d’école. Mais on sait bien que les scénaristes en gardent sous le coude pour le final. Reste que son enquête en plein sex shop sur le stalker vaut son pesant d’hilarité, et surtout dévoile un passif du personnage qu’on imaginait à peine. A noter que cet arc trouvera sa résolution ici après seulement 3 épisodes. C’est un peu court, et fait surtout office de remplissage que de réelle histoire importante. Dommage, car on sait les auteurs capables de faire mieux. Mais sexe débridé et cool attitude sont la recette du programme depuis ses débuts et cet épisode ne déroge pas à la règle. On retrouve également l’intrigue du pauvre avec Eric et ses problèmes de couple, et bien évidemment la petite Ashley devient folle de jalousie. On navigue dans les eaux connues du sitcom de base, mais on garde espoir dans une résolution furieuse, avec pourquoi pas un combat de bimbos entre Ashley et Sloan.
Si possible dans de la gelée de groseilles.
Si si.
L’épisode, entre fin d’arc et rebondissement attendu annonce néanmoins un final retentissant, même s’il n’aura que peu d’effet sur la bande de Vince, le stalker étant hors du coup.
Comme toujours, vivement la semaine prochaine.
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