En tant que fan absolu du prodige derrière Incassable, Signes, et le Sixième Sens, on avait déjà préparé tout un tas d'arguments pour sauver ce qui est annoncé partout comme un énorme ratage.
Même avec toute la mauvaise foi du monde, même avec une volonté de fer, impossible de rester impassible devant Mark Wahlberg (champion toutes catégories du lever de sourcil) discutant avec une plante. Le grotesque d'une telle scène (et de nombreuses autres) est un crève coeur. Comment a t'il pu en arriver là ?
Le film est à l'image de son pitch : diablement intéressant lorsqu'il met en images ces suicides inexpliqués, franchement nanar lorsqu'il faut les expliquer.
On a jamais vu menace si pitoyable, portée par un casting qui ne se prend même pas la peine d'être convaincu.
Si certains moments maintiennent parfois l'illusion, l'ensemble reste surtout un empilage de scènes navrantes, de moments chocs artificiels, et la paresse d'écriture frappe à la gorge, le bougre allant jusqu'a photocopier situations et plans d'anciennes de ses oeuvres.
Forcément, elles ont déjà prouvé leur efficacité.
On en ressort mi-amusé, mi-écoeuré, toujours décontenancé devant l'énormité de la chose, et le fait que personne (le cast, l'équipe, les producteurs) n'ait rien vu venir.
Qu'il est dur d'enterrer ses idoles.
Même avec toute la mauvaise foi du monde, même avec une volonté de fer, impossible de rester impassible devant Mark Wahlberg (champion toutes catégories du lever de sourcil) discutant avec une plante. Le grotesque d'une telle scène (et de nombreuses autres) est un crève coeur. Comment a t'il pu en arriver là ?
Le film est à l'image de son pitch : diablement intéressant lorsqu'il met en images ces suicides inexpliqués, franchement nanar lorsqu'il faut les expliquer.
On a jamais vu menace si pitoyable, portée par un casting qui ne se prend même pas la peine d'être convaincu.
Si certains moments maintiennent parfois l'illusion, l'ensemble reste surtout un empilage de scènes navrantes, de moments chocs artificiels, et la paresse d'écriture frappe à la gorge, le bougre allant jusqu'a photocopier situations et plans d'anciennes de ses oeuvres.
Forcément, elles ont déjà prouvé leur efficacité.
On en ressort mi-amusé, mi-écoeuré, toujours décontenancé devant l'énormité de la chose, et le fait que personne (le cast, l'équipe, les producteurs) n'ait rien vu venir.
Qu'il est dur d'enterrer ses idoles.
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