De Niro et Pacino sont bien fatigués dans ce ratage complet, qui se fout grassement de la gueule des fans tout en payant les impôts des ex bons acteurs.
Rien a sauver dans cette histoire ronflante, où le twist final est deviné dès les premières minutes et l'apparition de la vidéo de De Niro, bourrée de scènes accessoires pour remplir les 90 minutes syndicales.
Rien a sauver dans cette histoire ronflante, où le twist final est deviné dès les premières minutes et l'apparition de la vidéo de De Niro, bourrée de scènes accessoires pour remplir les 90 minutes syndicales.
De Niro est obèse, essoufflé, et passe la plupart du film a faire la moue, et Pacino joue avec son chewing gum en attendant que le temps passe. Pire, dès qu'il leur faut passer la moindre émotion, on a le droit à l'actor's studio dans ses pires travers, pour un grand concours de cabotinage.
On ne parlera même pas d'une réalisation à peine digne d'un téléfilm ou une morale finale dégueulasse sur l'apologie de l'auto défense que n'aurait pas reniée Schumacher.
C'était un rêve de cinéphile, et c'est devenu un machin vulgaire et triste où des monstres sacrés en réanimation cachetonnent en crachant sur leur carrière et les spectateurs.
Franchement déprimant.
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