Se refaire un gros shoot de séries après un été quasi désertique, c'est tout ce qui fallait à un accro tel que moi pour se sentir enfin vivant.
Et j'exagère à peine.
Bon, d'accord, j'exagère carrément.
N'empêche.
House - Season Premiere
Reprenant 2 mois après les évènements dramatiques du dernier season finale, le show est toujours aussi brillant, finement écrit, et House un grand salaud.
Sauf que pour une fois, on ose lui tenir tête, et le cliffhanger de l'épisode annonce une grande saison.
Vivement la semaine prochaine.
Weeds - Season Finale
Après une saison 3 qui annonçait de grands changements, la saison 4 construisait doucement mais sûrement de nouvelles bases. Celle-ci finie, on a une vue d'ensemble sur ce que va devenir le show (notamment une Nancy en quête de seconde chance), et le season finale est loin de ce que pouvait être la série à ses débuts.
On est en pleine intrigue criminelle, sous pression pour les personnages, mais toujours avec cette touche corrosive propre à Weeds (vive Doug et Andy pour le coup). Et blam, le gros cliffhanger qui renouvelle tout, et qui flanque un beau bordel dans tout ce qui avait été construit par cette saison 4.
D'accord, tout ça aurait pu se terminer en beauté, plutôt que toujours rallonger difficilement l'intrigue, mais chaque saison est tellement courte, et ramassée, qu'on ne peut se priver de ce petit plaisir estival.
Allez, l'été, c'est fini, faut s'y faire, on passe à autre chose.
La belle Mary Louise pourra encore nous attendre un an.
Pour nous pauvres spectateurs, par contre, ça risque d'être beaucoup plus difficile.
The Shield - 7x02
On continue sur la lancée, rien de bien extraordinaire, mais ça fout la patate pour une semaine. Un show qui fonce tête baissée, dézingue toute la concurrence sur son passage, et ne s'embarrasse pas des dégâts.
Hell yeah.
Gossip Girl - Pilot
Je ne sais pas ce qui m'a pris.
Un soap pour teenage girl, conçu comme tel, clinquant et bourré de fric.
Tout ce que je déteste.
Et puis, bon, c'est un peu dur, on résiste à l'envie de bazarder le dvd à l'autre bout de la pièce, mais finalement on tient jusqu'à la fin.
Difficilement, mais on tient.
Parce que les filles sont canons.
Parce que la réalisation n'a rien à voir avec Plus Belle La Vie.
Parce que la trash attitude adolescente des beaux quartiers en prime time, ça fait doucement rire (surtout pour qui connaît Skins).
Alors tout ça est cousu de fil blanc, certains acteurs ont passé la trentaine, mais on comprend pourquoi des centaines de demoiselles en fleur peuvent s'extasier devant un tel machin.
Je continuerai, pour voir.
Je ne sais jusque quand, mais je tiendrai.
Peut-être.
Un défi personnel, tout ça.
Je suis le nouveau Jésus.
Private Practice
Ah, par contre là, c'est physiquement impossible.
Trop girly, trop mielleux, trop nul tout simplement, j'abandonne.
Ca ne s'arrête jamais de parler, ça surfe sur l'humour à la Grey's sans jamais l'égaler une seule seconde, c'est hystérique et sans intérêt.
Allez, hop, à la poubelle.
lundi 22 septembre 2008
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