On l'attendait et ça y est : John McLane is back, à grand renforts de prouesse pyrotechnique et de vannes en tout genre. La bonne nouvelle est qu'on peut se rassurer tout de suite, Die Hard quatrième du nom ne démérite absolument pas face à ses prédécesseurs.
A partir d'une intrigue convenue mais emballante, aux images impressionnantes (le chaos urbain brillement représenté), on nous offre un film dans la continuité des précédents, avec son flic bourru, dont on découvre ici sa fibre paternelle (avec toujours autant de maladresse). Bruce Willis repend avec bonheur son personnage fétiche de flic masochiste, qui agit sans réfléchir et qui finira bien sûr l'épisode en piteux état.
Nanti de moyens considérables, on a droit ici à l'apocalypse sur grand écran, de scènes d'action dantesques et d'autres séquences carrément anthologiques (le combat avec Maggie Q a tout pour devenir culte). On frétille sur son siège comme un gamin à Noël pour plus de deux heures de jouissance pure, jusqu'à l'explosion de plaisir devant le final et LA réplique culte.
Bien sûr, on n’atteint pas encore ici les sommets formels et narratifs des premiers et troisièmes volets, mais on y surpasse largement le deuxième. Die Hard 4 est un chef d'oeuvre de film d'action badass, un rêve de gosse, et un plaisir coupable merveilleux. C'est gras, ça tache un peu, mais c'est formidable, grandiose. Des suites comme ça, on en veut toutes les semaines. Yippee-Ki-Yay Motherfucker.
A partir d'une intrigue convenue mais emballante, aux images impressionnantes (le chaos urbain brillement représenté), on nous offre un film dans la continuité des précédents, avec son flic bourru, dont on découvre ici sa fibre paternelle (avec toujours autant de maladresse). Bruce Willis repend avec bonheur son personnage fétiche de flic masochiste, qui agit sans réfléchir et qui finira bien sûr l'épisode en piteux état.
Nanti de moyens considérables, on a droit ici à l'apocalypse sur grand écran, de scènes d'action dantesques et d'autres séquences carrément anthologiques (le combat avec Maggie Q a tout pour devenir culte). On frétille sur son siège comme un gamin à Noël pour plus de deux heures de jouissance pure, jusqu'à l'explosion de plaisir devant le final et LA réplique culte.
Bien sûr, on n’atteint pas encore ici les sommets formels et narratifs des premiers et troisièmes volets, mais on y surpasse largement le deuxième. Die Hard 4 est un chef d'oeuvre de film d'action badass, un rêve de gosse, et un plaisir coupable merveilleux. C'est gras, ça tache un peu, mais c'est formidable, grandiose. Des suites comme ça, on en veut toutes les semaines. Yippee-Ki-Yay Motherfucker.
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