Vince perd pied dans son univers d’argent facile, de porn star et de tequila. Eric et Scott commencent à vouloir monter les échelons et être reconnus à leur juste valeur, et c’est à ce moment que le Billy Walsh de Medellin refait une apparition, à la recherche des talents de suit du manager de la bande. Drama noie sa déprime dans l’alcool, et Turtle flippe devant une certaine partie de l’anatomie de sa douce. Enfin, l’étau se resserre sur notre bon vieux Ari Gold qui se reprend en pleine tronche des années de torture d’assistants.
Après le surplus de vigueur asséné dans l’intrigue du show, l’épisode de cette semaine continue sur les chapeaux de roues, rendant ces trente minutes encore plus courtes que d’habitude. Vivement le rattrapage en dvd permettant d’enchaîner les épisodes jusqu’à plus soif. Si rien ne bouge vraiment du côté de Drama et Eric, que Turtle n’est là que pour la partie triviale de l’intrigue, rappelant que même un sujet comme les poils pubiens peut être décemment traité si l’on en a le talent, c’est surtout du côté d’Ari et de Vince que l’épisode remporte les suffrages.
On a rarement vu un Ari aussi proche de la destitution, se démenant comme un diable contre la disgrâce et la sauvegarde du prestige de son nom. Le retour d’une Carla Gugino savourant sa douce revanche est à ce titre totalement jouissif. Ari risque de tout perdre dans l’histoire, entre son contrat avec la NFL et sa femme qui s’éloigne peu à peu, l’intrigue ne ménage pas le personnage, qui sombre, et ne s’inquiète pas assez de Vince, pris dans une débauche difficilement compatible avec les attentes d’un gros studio en matière de première rôle d’une franchise coûteuse.
Sasha Grey se joue avec malice de son rôle de compagne de beuverie et d’excès en tout genre, jouant avec le spectateur de ce sordide cliché que toutes les porn stars ne sont pas des personnes fréquentables. Et pourtant on serait nombreux à vouloir passer une semaine dans le manoir de Vince pour quitter ce mois d’août qui ressemble à un novembre de guerre froide. Entourage se pose ainsi une nouvelle fois comme cette friandise clinquante absolument indispensable et réjouissante. Et pourtant, ce cliffhanger de haute tenue nous rappelle que tout n’est pas forcément rose dans cet univers plein d’étoiles.
Et nous voilà encore à supplier notre calendrier pour que la semaine passe plus vite.
Episode parfaitement représentatif du show et franchement réussi.
Au point que notre simple addiction au show se transforme en drogue dure, avec le retour de Billy Walsh en cerise sur le gâteau.
Le pied.
Après le surplus de vigueur asséné dans l’intrigue du show, l’épisode de cette semaine continue sur les chapeaux de roues, rendant ces trente minutes encore plus courtes que d’habitude. Vivement le rattrapage en dvd permettant d’enchaîner les épisodes jusqu’à plus soif. Si rien ne bouge vraiment du côté de Drama et Eric, que Turtle n’est là que pour la partie triviale de l’intrigue, rappelant que même un sujet comme les poils pubiens peut être décemment traité si l’on en a le talent, c’est surtout du côté d’Ari et de Vince que l’épisode remporte les suffrages.
On a rarement vu un Ari aussi proche de la destitution, se démenant comme un diable contre la disgrâce et la sauvegarde du prestige de son nom. Le retour d’une Carla Gugino savourant sa douce revanche est à ce titre totalement jouissif. Ari risque de tout perdre dans l’histoire, entre son contrat avec la NFL et sa femme qui s’éloigne peu à peu, l’intrigue ne ménage pas le personnage, qui sombre, et ne s’inquiète pas assez de Vince, pris dans une débauche difficilement compatible avec les attentes d’un gros studio en matière de première rôle d’une franchise coûteuse.
Sasha Grey se joue avec malice de son rôle de compagne de beuverie et d’excès en tout genre, jouant avec le spectateur de ce sordide cliché que toutes les porn stars ne sont pas des personnes fréquentables. Et pourtant on serait nombreux à vouloir passer une semaine dans le manoir de Vince pour quitter ce mois d’août qui ressemble à un novembre de guerre froide. Entourage se pose ainsi une nouvelle fois comme cette friandise clinquante absolument indispensable et réjouissante. Et pourtant, ce cliffhanger de haute tenue nous rappelle que tout n’est pas forcément rose dans cet univers plein d’étoiles.
Et nous voilà encore à supplier notre calendrier pour que la semaine passe plus vite.
Episode parfaitement représentatif du show et franchement réussi.
Au point que notre simple addiction au show se transforme en drogue dure, avec le retour de Billy Walsh en cerise sur le gâteau.
Le pied.