jeudi 15 mai 2008

Séries de la Semaine, c'te veine !

Battlestar Galactica - 4x05
Si l'ensemble demeure aussi bien écrit et interprété que dans les grandes heures de la série, on commence à prendre un peu peur que la série se "lostise", à étirer leurs intrigues (pourtant passionnantes) artificiellement, et balancer en rebondissement final un truc qu'on attends depuis des épisodes.
Alors, oui, c'est toujours la meilleure série SF du monde, mais pour une ultime saison, c'est décevant. Et on en est pas encore à vivre dans le souvenir d'une période aujourd'hui révolue.
Qu'ils reprennent des couilles et du poil de la bête, car l'inconvénient après avoir touché les étoiles, c'est qu'on ne pardonne plus rien après.

Lost - 4x11
Le season finale approche à grand pas, et les auteurs mettent en place leurs pions pour une fin qu'on espère aussi ultime que l'année dernière.
Vu les rebondissements des cinq dernières minutes, on se dit qu'il y a largement moyen.

Desperate Housewifes - 4x14
Ca continue dans la joie et la bonne humeur, en plein dans la continuité des derniers épisodes.
C'est peut être pas le sommet de la production télé américaine (c'en est même loin), mais ce la reste très plaisant.
Et franchement, ça me suffit.

House - 4x14
Un épisode drôle, car parodique, laissant la part belle à l'affrontement House / Cuddy, et toujours aussi finement écrit et ciselé.
Le Bonheur.

My Name is Earl - 3x20
Un épisode complètement autre, barré et pourtant totalement dans le moule trasho-plouc de la série.
Compétition de bagging, Alyssa Milano, Napoleon Dynamite, et des doigts tordus.
Et le pire c'est que tout ça prend sens dans l'épisode.

How I Met Your Mother - 3x19
Le retour de Britney (plus tarte dans cet épisode, et ça lui réussit), la continuité du show Barney, des astuces narratives à la pelle, des bottes rouges, c'est vraiment drôle, ça va partout et retombe toujours sur ses pattes, foisonnant comme c'est pas permis.
La série se fout de rameuter le plus de spectateurs possibles (la caution Britney fera le reste), et ose une sitcom comme on en a jamais vu, un truc totalement autre et barré, vivant selon ses propres règles.
Joie.

Aucun commentaire: